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Etudiant et entrepreneur

24/8/2016

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Universités, écoles d'ingénieurs, écoles de commerce développent des cursus consacrés à l'entrepreneuriat, associés à des incubateurs avec qui ils développent des réseaux pour accompagner les étudiants.
Selon une étude menée par Opinion Way et publiée au mois de janvier dernier à l'occasion du Salon des entrepreneurs, 55 % des 18-24 ans, et 56 % des 25-34 ans auraient envie de créer une entreprise. 
Le succès rencontré par certaines applications, tout comme la valorisation des géants de l'Internet, suscite des vocations, et ce d'autant plus que la génération dite Y serait davantage que les précédentes en quête d'autonomie dans le monde du travail.  
 
 
"Les étudiants affichent une véritable appétence pour l'entrepreneuriat, ils sont plus particulièrement attirés par les nouvelles technologies et l'Internet. Il s'agit d'un véritable changement sociétal", affirme Jacques-Olivier Hénon, directeur des politiques éducatives et du Centre de formation d'apprentis (CFA) à la CCI Paris Ile-de-France. 
Un nouveau statut
Le monde académique et les pouvoirs publics cherchent à accompagner ces évolutions. Au mois de septembre 2014, le ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a créé le statut d'étudiant-entrepreneur. Il offre de nombreux avantages, comme l'accès à des prix régionaux et nationaux d'aide à la création d'entreprise ou le maintien de la sécurité sociale étudiante.  
 
Ce statut a aussitôt remporté un franc succès: pour l'année scolaire 2014-2015, 643 étudiants en avaient profité, ils sont 1427 cette année. "Il n'y a pas d'objectifs chiffrés, mais pour 2020, avoir 10 000 étudiants-entrepreneurs semble un objectif raisonnable", prévoit Jean-Pierre Boissin, coordonnateur national du Plan étudiants pour l'innovation, le transfert et l'entrepreneuriat (Pépite). 
Multiplication des initiatives
Le statut d'étudiant-entrepreneur n'est pas le seul à faciliter la création d'une jeune pousse. Le ministère de l'Education nationale a créé un vaste réseau national comprenant 29 Pépites qui relèvent chacune d'une Communauté d'universités et d'établissements. Celles-ci mettent en oeuvre des actions afin de promouvoir l'entrepreneuriat et l'esprit start-up.  
"L'heSam regroupe 12 établissements: grandes écoles, universités et écoles spécialisées à Paris. Notre rôle est de sensibiliser les étudiants à la création d'entreprises et d'accompagner tous ceux qui ont un projet à développer en mettant à leur disposition un ensemble de savoir-faire et d'experts dans les domaines juridique, marketing, technologique", explique Felipe Avila Reyes, chef de projet entrepreneuriat-Pépite heSam Entreprendre. Ces actions s'ajoutent à celles menées au sein des établissements.  
"Tous les étudiants de 3e année suivent un parcours dédié à l'entrepreneuriat. Chaque année est organisé le Jour des projets, au cours duquel les étudiants présentent un projet d'études ou de stage. Ceux qui ont un objectif de création d'entreprise peuvent bénéficier d'un accompagnement dans le cadre du Coaching Entrepreneuriat & Innovation", indique Christine Cevaer, chef de Projet à l'école d'ingénieurs ESIEE Paris. 
De même, "quasiment toutes les écoles de la CCI Paris Ile-de-France intègrent dans leur cursus une formation à la création d'entreprise, certaines d'entre elles disposent en plus d'un incubateur et pour celles qui n'en ont pas les moyens, un incubateur mutualisé a été créé", indique Jacques-Olivier Hénon. Ces initiatives parmi d'autres répondent à la soif d'entreprendre des étudiants. 
 
 

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Réflexion - Formation - Action

3/8/2016

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Une étude réalisée aux Etats-Unis fin des années 90 mettait en évidence qu'une personne utilisait ses capacités et son temps de la manière suivante :
- 40% à se souvenir d'évènements passés, à ressasser en se disant "c'était mieux avant", à boucler sur des aspects nostalgiques.
- 30% à se positionner dans des projections qui ne se concrétiserons jamais, pour illustrer c'est "je commence lundi"
- 12% à se questionner sur sa santé, à se bâtir des peurs et des craintes autour de cet aspect
- 10% à ne rien faire, à s'immobiliser en état léthargique (fatigué après une journée de travail et attraction du canapé)
- 8% à participer activement à la construction de son existence, à agir, à transformer ses projets en réalité.

C'est à partir de ce dernier % que TOUT EST POSSIBLE

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